

Lettre à mes amix francophones,
Ce petit mot est pour vous demander de patienter (peut-être longtemps – je l’écris en début d’année 2023). Vous l’auriez remarqué par ma présence sur La Toile, je n’écris pas beaucoup en français en ce moment. Il a fallu que je fasse un choix par rapport au temps et à l’énergie que je consacrais à mon travail, et le choix pour l’instant est de me consacrer à l’anglais. J’écris un bouquin, je travaille avec mes client.es anglophones, je fais plein de petites formations et interventions après une grande formation en ‘recovery coaching’ l’année dernière, et je n’ai pas le temps de tout traduire en français. Ceci dit, si vous venez sur mon petit site parce que vous m’avez déjà vue sur les réseaux, ou que vous m’aviez entendue sur un podcast en français, sachez une chose – je suis prête à, et serais ravie de, travailler avec vous. La formation de base que j’ai faite pendant ma reconversion, c’était en français et pour un public francophone. Ce n’est pas de votre faute que le mot ‘recovery’ n’existe pas en français, ce n’est pas de votre faute que j’aie arrêté de boire après ma certification et que je me sois concentrée plus sur le recovery coaching que le coaching professionnel ou le coaching de vie pur. Ce n’est pas de votre faute que l’apocalypse soit arrivée en même temps que je débutais mon activité de coach, et qu’avec la migration sur Internet de Toute La Vie, ce soit accompagné d’une migration plus axée vers l’anglais.
Je n’ai pas les mêmes documents ou ressources tout prêts en français que ce que j’ai en anglais, mais de toute façon, dans le coaching, c’est vous la ressource. Je suis juste là pour faire miroir, poser quelques questions, vous accompagner dans l’exploration des réponses à celles-ci, et vous aider à prendre conscience de vos propres connaissances et croyances, et surtout d’à quel point elles peuvent être boostantes ou limitantes.
Le monde du recovery coaching peine à percer en France, et je veux faire partie de la vague qui y arrivera, mais pour l’instant, je dois surtout m’assurer de garder mes pieds sur Terre. Si tu m’as vue ou rencontrée sur Internet et que ce que je fais en anglais t’intéresse – je suis ouverte à travailler en français avec un public francophone, c’est juste un peu plus facile si tu as des notions d’anglais – surtout pour les concepts qui n’existent pas trop encore dans le monde et la langue de Grand Corps Malade.
Si tu es gros.se, trans, fatigué.e, queer, malade, sobre, expat, immigré.e, en questionnement, intéressé.e … envoie moi un mail ou un message, on trouvera bien quelque chose – que ce soit avec moi, ou de plus adapté.e.